Quel est le sens de ce néologisme ?
Non, ce n'est pas un pôle hippique... mais plutôt des polies piques, des piques polies... car le débat politique est aujourd'hui largement confisqué dans les médias sous contrôle des milliardaires et des politiques... ALors, plutôt que de grands articles, voici quelques textes poétiques pour contrecarrer la bassesse, le mensonge, la manipulation, la violation des droits des citoyens...
24. Sept., 2020
Article sur le port prolongé du masque
article sur le site de FRONT POPULAIRE :
https://frontpopulaire.fr/o/Content/co242960/ecole-des-effets-du-masque
et sur le site de COVIDINFOS.NET :
https://covidinfos.net/confinement/la-pression-morale-que-subissent-les-enfants-semble-demesuree-temoigne-une-enseignante/2274/
Vos chers enfants le porteront
Dans les écoles pendant des heures
Et ces torchons leur détruiront
Les poumons et leur bonne humeur
Mais nous les êtres supérieurs
Dans nos soirées dans nos festins
Nous conservons nos airs rieurs
Et ne portons pas ce machin
C’est la marque de vos soumissions
Vous les débiles les inutiles
Nous accomplissons la mission
De l'élite aux projets subtils
À l’hameçon le poisson mord
Vous avez cru nos faux discours
La propagande de la mort
Vous a poursuivis nuit et jour
Les injections nous aideront
Nous rendrons vos anciens séniles
Vos vies valent celles des pucerons
Nous rendrons vos femmes stériles
Et au nom de l’écologie
Nous réduirons tous vos avoirs
En commençant par l’énergie
En poursuivant par le savoir
Nous traquerons les opposants
En les traitant de complotistes
Grâce aux peureux aux bien-pensants
Qui les dénoncent et font des listes
À moins qu’un sursaut de conscience
Vienne faire échouer nos sombres plans
Que les peuples contre nous s’élancent
Et viennent nous percer les flancs
Le 30 octobre 2021
Où le désir de mort
Nous cause bien du tort
Où des gens pas très sains
Inoculant la peur
Dans l’ombre de Pasteur
Préparent des vaccins
Pour d’obscurs desseins
Pour la domination
Sur chacun des humains
Quelle abomination !
Je parcours la France
Voulant sa délivrance
Levez-vous les amis
Ne soyez plus soumis
Que tombent les mensonges
Que le mal qui nous ronge
Soit enfin démasqué
Chassé hué conspué
Puissons-nous respirer
Enfin nous libérer
Retrouver la fierté
La souveraineté !
Sophie Desestoiles
Le 26 septembre 2020
Tableau de Jean-Baptiste Olive. Vue du Vieux Port
Ceux qui spéculent sur la mort
Qui dans des labos se font fort
De créer virus et vaccins
Pour contrôler le genre humain
Restez chez vous ! Crevez chez vous !
Vous mourrez ou deviendrez fous
La dictature est pour demain
Créer un état de panique
Contrôler la télévision
Pour imposer la réclusion
La surveillance électronique
Interdire les rassemblements
Restez chez vous ! Crevez chez vous !
Vous mourrez ou deviendrez fous
La loi d’urgence au parlement
Nous procédons à ce lavage
De cerveaux hyperconnectés
Pour que vous cessiez d’éructer
Pour vous réduire en esclavage.
Sophie Desestoiles, le 25 mars 2020
Après avoir longtemps saigné
La médecine et l’hôpital
À défaut de pouvoir soigner
Tous ceux atteints du mal viral
Quelle réponse le gouvernement
A donnée à la pandémie ?
Un seul mot d’ordre : confinement
Chacun devenant l’ennemi
De son voisin de ses amis
Nous voici privés de soleil
Aucun visiteur n’est admis
Dans les Ephad où le sommeil
Devient un remède à la vie
Nos aînés sont si confinés
Que de vivre ils n’ont plus envie
En se sentant abandonnés
Plonger les gens dans l’inquiétude
Ne leur donner nulle espérance
Les faire mourir de solitude
Quels sombres jours sur la France !
Ceux qui gouvernent sans remords
Ont refusé un traitement
Alors ils ont caché les morts
Un jour viendra le jugement.
Sophie Desestoiles
Tableau de David Caspar Friedrich
Le 11 avril 2020, avant Pâques
Notre-Dame abandonnée
Un an déjà, déjà un an, que Notre-Dame
Un soir d’avril, c’était le quinze et un lundi
Fut, comme
une vierge au bûcher, livrée aux flammes
Et tout le peuple fut surpris, abasourdi
À la fin février, je vins donc la revoir
Moi qui l’avais connue dans toute sa splendeur
Elle avait revêtu
comme un long crêpe noir
Et mon cœur ressentit son infinie douleur
Elle a subi le vent et la pluie et l’hiver
Les poutres calcinées pèsent fort sur la voûte
L’échafaudage hideux
semble un monstre de fer
Veulent-ils la sauver, là j’ai vraiment un doute
En bas des palissades affichaient des images
Du terrible incendie et du chantier en cours
Il était annoncé que tout l’échafaudage
Serait démantelé dès les tout premiers jours
De l’année deux mille vingt, nous sommes en avril
Mais pourquoi tant d’attente et de lenteur coupable
Qui veut vraiment sauver est prompt, leste
et fébrile
Si la voûte s’écroule, ils seront responsables.
Le 14 avril 2020
Ancrée au bout de la Cité
Elle rayonne sans partage
Depuis la profondeur des âges
Vers l’azur et l’immensité
Bien plus qu’un beau vaisseau de pierre
Par la hauteur de ses beffrois
Ses rosaces au nombre de trois
Et sa flèche défiant la matière
Elle
est présence spirituelle
Parmi la foule ou en silence
Son rayon vers le ciel s’élance
Présence calme et maternelle
Elle a conservé la mémoire
Des rois augustes qui l’édifièrent
Des humbles pauvres dont la misère
Fut adoucie par l’encensoir
Ayant échappé aux pillages
Aux guerres aux bombardements
On pensait qu’éternellement
Elle veillerait sur nos âges
Quel conseil venu de Satan
Poussa des esprits embrumés
À vouloir la voir en fumée
Pour gagner de l’or ou du temps
Le feu attaqua la forêt
De chênes du temps de saint Louis
Puis devint rougeur dans la nuit
Brasier puissant et abhorré
On eût dit que l’esprit du Mal
Se tordait en volutes grises
Pour anéantir notre église
Conviant les damnés à ce bal
Dans la lutte entre les esprits
Démons rougeoyant de colère
Anges invisibles dans l’air
Longtemps le sort fut indécis
Toute la nuit fut un
combat
Avec le secours des pompiers
Qui bataillèrent pied à pied
La cathédrale ne mourut pas
Quand au matin ces chevaliers
Ayant vaincu grâce à leur cœur
Virent la croix au
fond du chœur
Droite et intacte et qui brillait
Leurs yeux surpris reçurent ce signe
Comme celui de la victoire
De la Vie sur les forces noires
Et du Sauveur la marque insigne
Vendredi Saint,
19 avril 2019
Ô vous peuples de France, de Russie, de Crimée
Ô vous peuples du Nord, de Méditerranée
Entendez-vous dans l’air le bourdon des avions
Entendez-vous de nuit qu’on ressort les canons
Ah, ne vous laissez pas entraîner dans la guerre
Comme on nous a déjà endoctrinés naguère
Pour enrichir encore les marchands assassins
À sacrifier nos vies, ce qu’il y a de plus saint
Ne soyons pas le jouet des manipulations
De ceux qui pour régner animent les nations
Les unes contre les autres avec des attentats
Du feu jeté aux poudres, des terreurs, des diktats
Ils rallument la mèche usée depuis cent ans
Au centre de l’Europe ou bien dans les Balkans
Ne soyons pas les dupes d’une telle infamie
S’ils disent « Feu sur eux », dire : « Quel ennemi ?
Je n’ai pas d’ennemi, ces hommes sont mes frères
Je ne verserai pas le sang pour vos frontières
Tel parle une autre langue, tel honore d’autres dieux
Cela ne me nuit pas. Que la paix soit sur eux. »
Et que le cœur obscur des lâches criminels
Qui fomentent la guerre partout à grande échelle
Soit percé de remords de vouloir tant de morts
Et traduit en justice, que l’on voie tous leurs torts.
le 11 février 2015
Dans des tourbillons de fumée
De vives flammes très cruelles
Sans avoir pu être inhumée
Rendit son âme la Pucelle
Ils l’accusèrent d’être hérétique
Elle qui se leva pour la France
Elle si croyante et si mystique
Saint Michel lui donnant vaillance
Le haut clergé les politiques
Par leur finesse et leurs mensonges
Usèrent de sombres tactiques
Jamais le remords ne les ronge
Hautes flammes et noire fumée
S’élèvent encore aujourd’hui
La ville entière est parfumée
D’odeurs toxiques jour et nuit
Qui donc a mis le feu aux poudres
En pleine nuit tel un voleur
À mon avis ce n’est pas la foudre
Mais on nous ment et on nous leurre
En affirmant que tout va bien
Pas de toxicité aigüe
Il suffit de laver ses mains
Vraiment personne n’est convaincu
Et pendant qu’à Paris ils prient
Sur la bière d’un président
Les Normands sentent le mépris
De ce lourd silence évident
D’ailleurs en mars Saint-Sulpice
Connut aussi un incendie
Qu’étouffa un silence complice
Car tout est tu et rien n’est dit
Puis en avril c’est Notre Dame
Le cœur vibrant de notre France
Qui fut attaquée par les flammes
Ah ! quelle étrange coïncidence
Le jour précis bien annoncé
Un lundi quinze signe du diable
Où aurait dû être prononcé
Un fort discours c’est indéniable
Une réponse aux gilets jaunes
Se changea en couleur de soufre
En brasier filmé par les drones
De voir cela notre cœur souffre
Sourire grinçant des satanistes
Venus ce soir-là sur la Seine
Le feu réjouit leurs âmes tristes
Le succès de leur mise en scène
Détruire mentir manipuler
La trilogie de leur démence
Ne craignent-ils pas de brûler
Et d’épuiser toute clémence ?
Quand la vérité reviendra
Et démasquera ces pervers
Tel qui ricane pleurera
Quand tous les yeux seront ouverts.
Sophie Desestoiles
1er octobre 2019